Aujourd’hui, deuxième match en autant de jour pour l’équipe de France à Tampere. Les Bleus affrontent le dixième mondial : le Danemark. Sur le papier, les Danois sont légèrement au-dessus des Français. Un passage obligé pour espérer un maintien rapide voir mieux.

L’équipe de France est entrée dans son championnat du monde hier, de la meilleure des manières avec une victoire face à l’Autriche. Débuter un championnat du monde par une victoire, c’est rare. La dernière fois que cela est arrivé, c’était en 2016 à Saint Petersbourg (Russie) face à l’Allemagne. Les adversaires du jour sont connus de la France, la dernière confrontation en championnat du monde remonte à… 2022. Les Bleus s’étaient inclinés trois buts à zéro. Le match n’a pas été oublié par Philippe Bozon qui déclarait hier après le match face à l’Autriche : “je veux que les gars aient un esprit de revanche”.

Il faut aux Bleus un esprit conquérant face aux Danois et plus particulièrement à Niklas Ehlers qui a battu la Hongrie à lui tout seul ou presque avec deux buts. Par ailleurs, les Français pourront compter sur la présence d’Alexandre Texier qui n’a pas été suspendu par l’IIHF. En effet, la fédération internationale avait jusqu’ à 9h00 (locale) pour signifier au staff une éventuelle suspension de Texier. Cela n’a pas été le cas.

L’interrogation du jour est qui sera le gardien partant ? Hier soir, en zone mixte Sebastian Ylönen ne semblait pas contre un nouveau départ, laissant la décision au staff.

L’enjeu du match, aujourd’hui, c’est de prendre une revanche sur le match de l’année dernière de manière accessoire, mais surtout de prendre des points afin de sécuriser un peu plus l’objectif du maintien. La victoire d’hier était primordiale pour se mettre dans le bon sens. Il faut confirmer dès aujourd’hui. Après ce match face au Danemark, ce sera un jour de repos pour les Bleus, avant le troisième match en quatre jours face à la Hongrie pour sceller le maintien et entrer dans une deuxième phase du tournoi.

 

Retrouvez la zone mixte suite à la victoire face à l’Autriche